Voici le programme de lecture que nous avons choisi pour la prochaine saison 2022 – 2023.
Bonnes lectures !
- 25.08.22 : Le chat qui voulait sauver les livres – Sosuke Natsukawa
- 15.09.22 : L’anomalie – Hervé Le Tellier
- 06.10.22 : Chanson douce – Leila Slimani
- 03.11.22 : Code 612 Qui a tué le Petit Prince ? – Michel Bussi
Les abeilles grises – Andrei Kourkov - 08.12.22 : La plus secrète mémoire des hommes – Mohamed Mbougar Sarr
- 12.01.23 : J’ai couru vers le Nil – Alaa Al-Aswany
- 09.02.23 : Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en a qu’une – Raphaëlle Giordano
- 09.03.23 : Les Mots immigrés – Erik Orsenna
Le cartographe des Indes boréales – Olivier Truc - 30.03.23 : En censurant un roman d’amour iranien – Shahriar Mandanipour
- 27.04.23 : Choix des livres de la saison 2023-2024
- 04.05.23 : La porte des larmes – Abraham Verghese
Détail du programme
Jeudi 25 Août 2022 – 17h00 →18h30 :
Le chat qui voulait sauver les livres – Sosuke Natsukawa (Marie-Noelle) 248p
Une ode merveilleuse à la lecture et à l’imagination faisant écho au Petit Prince…
Rintarô Natsuki, lycéen flegmatique, est sur le point de fermer la librairie héritée de son grand-père quand il reçoit une visite inattendue. Au milieu des livres, il découvre un gros chat brun tigré, un chat qui parle ! Et ce félin exprime une requête plutôt inhabituelle : il demande – ou plutôt exige – l’aide de l’adolescent pour aller sauver des livres.
Le monde serait en effet peuplé de livres solitaires, non lus et mal aimés que le chat et Rintarô se doivent de libérer de leurs propriétaires négligents.
Le duo atypique se lance alors dans une quête périlleuse au cœur de labyrinthes extraordinaires…
Jeudi 15 Septembre 2022 – 17h00 →18h30 :
L’anomalie – Hervé Le Tellier Goncourt 2020 (Hélène) 416p
« Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension. »
En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris – New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte.
Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai.
Roman virtuose où la logique rencontre le magique, ‘L’Anomalie’ explore cette part de nous-même qui nous échappe.
Jeudi 6 Octobre 2022 – 17h00 →18h30 :
Chanson douce – Leila Slimani Goncourt 2016 (Hélène) 256p
Lorsque Myriam, mère de deux jeunes enfants, décide malgré les réticences de son mari de reprendre son activité au sein d’un cabinet d’avocats, le couple se met à la recherche d’une nounou. Après un casting sévère, ils engagent Louise, qui conquiert très vite l’affection des enfants et occupe progressivement une place centrale dans le foyer. Peu à peu le piège de la dépendance mutuelle va se refermer, jusqu’au drame.
À travers la description précise du jeune couple et celle du personnage fascinant et mystérieux de la nounou, c’est notre époque qui se révèle, avec sa conception de l’amour et de l’éducation, des rapports de domination et d’argent, des préjugés de classe ou de culture.
Le style sec et tranchant de Leïla Slimani, où percent des éclats de poésie ténébreuse, instaure dès les premières pages un suspense envoûtant.
Jeudi 3 Novembre 2022 – 17h00 →18h30 :
Code 612 Qui a tué le Petit Prince ? – Michel Bussi (Sophie) 235p
« Qui mieux que Michel Bussi pour imaginer une enquête passionnante sur le mystère et les ombres du Petit Prince et de son créateur Saint-Exupéry ? Roman à clé, jeu de piste, hommage, Code 612 Qui a tué le Petit Prince? célèbre les 75 ans du Petit Prince. Un livre indispensable pour les amoureux du conte et de son auteur.
Avec la signature Bussi : ludique, poétique, surprenante. »
« Il est le livre le plus traduit au monde, après la Bible, et l’un des plus vendus, conte étrange et fascinant.
Il est l’incarnation universelle de l’enfance, petit garçon blond, mordu mortellement par un serpent…
Mais la vérité est-elle aussi simple ? S’est-on vraiment déjà posé la question : » Qui a tué le Petit Prince ? » Saint-Exupéry n’aurait-il pas dissimulé l’identité de l’assassin dans son roman, lui dont la mort, quelques mois après la parution de son livre, reste tout aussi mystérieuse ?
Code 612. Qui a tué le Petit Prince ? passe en revue hypothèses, coupables et mobiles, pour enfin révéler la vérité stupéfiante sur le secret de Saint-Exupéry, et de son double de papier.
Si vous décidez de la croire… »
Les abeilles grises – Andrei Kourkov (Marie de B) 400p
Dans un petit village abandonné de la « zone grise », coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte :
Sergueïtch et Pachka. Ennemis d’enfance, désormais seuls habitants de ce no man’s land, ils sont obligés de coopérer pour ne pas sombrer. Et cela, malgré des points de vue divergents vis-à-vis du conflit. Sergueïtch sympathise avec un soldat ukrainien qui lui rend des visites furtives ; Pachka fréquente en cachette ses « protecteurs russes » pour se procurer des denrées alimentaires.
Leurs conditions de vie sont rudimentaires : charbon pour se chauffer, conserves pour se nourrir, bougies récupérées dans une église détruite pour s’éclairer. Les journées monotones de Sergueïtch sont cependant animées de rêves visionnaires et de souvenirs. Ce qui lui importe avant tout, ce sont ses abeilles. Apiculteur dévoué, il croit en leur pouvoir bénéfique qui autrefois attirait des clients venus de loin pour dormir sur ses ruches lors de séances de « thérapie curative ». Alors que l’hiver les abeilles demeurent dans sa grange, à l’abri du froid et des bombardements, il décide, le printemps venu, de leur chercher un endroit plus calme. Ses six ruches chargées sur la remorque de sa vieille Tchetviorka, le voilà qui part à l’aventure. Mais même au cœur des douces prairies fleuries de l’Ukraine de l’ouest et le silence des montagnes de Crimée, le grand frère russe est là, qui surveille…
Jeudi 8 Décembre 2022 – 17h00 →18h30 :
La plus secrète mémoire des hommes – Mohamed Mbougar Sarr (Marie Noëlle) 448p
Un magistral roman d’apprentissage, une saisissante enquête sur les traces d’un mystérieux auteur menée par un jeune écrivain africain à Paris En 2018, Diégane Latyr Faye, jeune écrivain sénégalais, découvre à Paris un livre mythique, paru en 1938 : Le Labyrinthe de l’inhumain. On a perdu la trace de son auteur, qualifié en son temps de » Rimbaud nègre « , depuis le scandale que déclencha la parution de son texte. Diégane s’engage alors, fasciné, sur la piste du mystérieux T. C. Elimane, où il affronte les grandes tragédies que sont le colonialisme ou la Shoah. Du Sénégal à la France en passant par l’Argentine, quelle vérité l’attend au centre de ce labyrinthe ? Sans jamais perdre le fil de cette quête qui l’accapare, Diégane, à Paris, fréquente un groupe de jeunes auteurs africains : tous s’observent, discutent, boivent, font beaucoup l’amour, et s’interrogent sur la nécessité de la création à partir de l’exil. Il va surtout s’attacher à deux femmes : la sulfureuse Siga, détentrice de secrets, et la fugace photojournaliste Aïda… D’une perpétuelle inventivité, La plus secrète mémoire des hommes est un roman étourdissant, dominé par l’exigence du choix entre l’écriture et la vie, ou encore par le désir de dépasser la question du face-à-face entre Afrique et Occident. Il est surtout un chant d’amour à la littérature et à son pouvoir intemporel.
Mohamed Mbougar Sarr, né en 1990 au Sénégal, travaille actuellement à une thèse de doctorat à l’Ecole des hautes études en sciences sociales. Son premier roman, Terre ceinte (Présence africaine, 2015), a reçu le prix Ahmadou-Kourouma, puis le Grand Prix du roman métis de Saint-Denis-de-la-Réunion. Il a ensuite publié Silence du choeur (Présence africaine, 2017, Prix Littérature-Monde – Etonnants Voyageurs 2018) et De purs hommes (Philippe Rey, 2018).
Jeudi 12 Janvier 2023 – 17h00 →18h30 :
J’ai couru vers le Nil – Alaa Al-Aswany (Marie) 512p
Roman traduit de l’arabe (Egypte) par Gilles Gauthier. À travers les péripéties politiques et intimes d’une palette de personnages tous liés les uns aux autres, du chauffeur au haut gradé, de la domestique musulmane au bourgeois copte, El Aswany livre le roman de la révolution égyptienne, une mosaïque de voix dissidentes ou fidèles au régime, de lâchetés ordinaires et d’engagements héroïques.
Plus d’infos ici : https://www.franceculture.fr/oeuvre/jai-couru-vers-le-nil-0
Le Caire, 2011. Alors que la mobilisation populaire est à son comble sur la place Tahrir, Asma et Mazen, qui se sont connus dans une réunion politique, vivent leurs premiers instants en amoureux au sein d’une foule immense. Il y a là Khaled et Dania, étudiants en médecine, occupés à soigner les blessés de la manifestation. Lui est le fils d’un simple chauffeur, elle est la fille du général Alouani, chef de la Sécurité d’État, qui a des yeux partout, notamment sur eux. Il y a là Achraf, grand bourgeois copte, acteur cantonné aux seconds rôles, dont l’amertume n’est dissipée que par ses moments de passion avec Akram, sa domestique. Achraf dont les fenêtres donnent sur la place Tahrir et qui, à la suite d’une rencontre inattendue avec Asma, a été gagné par la ferveur révolutionnaire. Un peu plus loin, il y a Issam, ancien communiste désabusé, victime de l’ambition de sa femme, Nourhane, présentatrice télé, prête à tout pour gravir les échelons et s’ériger en icône musulmane, qu’il s’agisse de mode ou de mœurs sexuelles.
Chacun incarne une facette de cette révolution qui marque un point de rupture, dans leur destinée et dans celle de leur pays. Espoir, désir, hypocrisie, répression, El Aswany assemble ici les pièces de l’histoire égyptienne récente, frappée au coin de la dictature, et convoque le souffle d’une révolution qui est aussi la sienne. À ce jour, ce roman est interdit de publication en Égypte.
Né en 1957 dans la vallée du Nil, Alaa El Aswany exerce le métier de dentiste au Caire, en parallèle d’une carrière de chroniqueur et de romancier traduit dans le monde entier. Après le célèbre Immeuble Yacoubian, porté à l’écran par Marwan Hamed, paru en 2006, Actes Sud a publié Chicago (2007), J’aurais voulu être égyptien (2009), Chroniques de la révolution égyptienne (2011) et Automobile Club d’Égypte (2014).
Jeudi 9 Février 2023 – 17h00 →18h30 :
Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en a qu’une – Raphaëlle Giordano (Claire) 256p
– » Vous souffrez probablement d’une forme de routinite aiguë.
– Une quoi ? »
Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce et repart à la conquête de ses rêves…
» Un roman tendre, drôle et divertissant qui pourra vous aider à prendre votre envol pour une nouvelle vie. À lire au plus vite car on n’en a qu’une ! » Christophe Mangelle – Metronews
Jeudi 9 Mars 2023 – 17h00 →18h30 :
Les Mots immigrés – Erik Orsenna-Bernard Cerquiglini (Hélène) 120p
À l’heure où revient le débat sur l’identité, avec des opinons opposées de plus en en plus violentes, Erik Orsenna a voulu, par la voie du conte commencée avec sa Grammaire est une chanson douce, raconter l’histoire de la langue française. Pour une telle ambition, le savoir lui manquait. Bernard Cerquiglini, l’un de nos plus grands linguistes et son ami de longue date, a bien voulu lui apporter ses lumières aussi incontestées que malicieuses.
Et nous voilà partis, deux millénaires en arrière, chez nos ancêtres les Gaulois dont les mots sont bientôt mêlés de latin, puis de germain. Avant l’arrivée de mots arabes, italiens, anglais… Un métissage permanent où chaque langue s’enrichit d’apports mutuels.
Jusqu’à ce que déferle une vague de vocables dominateurs nés de la mondialisation économique et inventés pour son service. Ce globish aura-t-il raison de la diversité linguistique, aussi nécessaire à nos vies que cette biodiversité dont nous avons appris à reconnaître l’importance capitale, et la fragilité ? Et si les mots immigrés, c’est à dire la quasi-totalité des mots de notre langue, s’ils décidaient de se mettre un beau jour en grève ? Ce jour-là, les apôtres de cette illusoire pureté nationale deviendraient muets. Il n’est pas interdit d’en rêver…
Le cartographe des Indes boréales – Olivier Truc (Daniel) 640p
Dans le genre Fiction historique, Romance historique, Récit d’aventure
Stockholm, 1628.
Alors que le magnifique Vasa s’enfonce dans les eaux sombres du Mälaren, Izko est témoin d’une scène étrange : un homme est tué, une femme en fuite met au monde un enfant. Elle fait un geste. Malédiction ou prémonition ?
Comme tous les jeunes Basques, Izko rêvait de chasse à la baleine dans les eaux glacées des confins du monde sur les pas de son père, un harponneur de légende. Mais une force mystérieuse a changé le cours de son destin, le vouant au service de Dieu et du roi : il sera espion de Richelieu.
Après avoir étudié la cartographie à Lisbonne et Stockholm, Izko part explorer les Indes boréales, où les Suédois espèrent trouver des mines d’argent pour financer leurs guerres tandis que des pasteurs fanatiques convertissent les Lapons par la force.
Tenu par un terrible chantage, Izko devra frôler mille morts, endurer cent cachots pour conjurer le sort et trouver sa liberté, aux côtés des Lapons fiers et rebelles et d’une femme qui l’a toujours aimé.
Un extraordinaire roman d’aventures, porté par un héros courageux, dans l’Europe tourmentée des guerres de religion et de l’Inquisition. On embarque sans hésiter pour le Grand Nord du monde.
Ce roman, de part la qualité de ses sources historiques concernant la colonisation de la Laponie par les évangélistes luthériens suédois est incontournable pour toute personne désirant en savoir plus sur le peuple autochtone des samis.
Jeudi 30 Mars 2023 – 17h00 →18h30 :
En censurant un roman d’amour iranien – Shahriar Mandanipour (Claire) 448p
Téhéran, de nos jours. Comment un garçon et une fille peuvent-ils se rencontrer et vivre une histoire d’amour alors que la République islamique a instauré une rigoureuse séparation des sexes ? Comment publier un roman d’amour, alors que l’impitoyable censeur pourchasse la moindre allusion érotique ? Sara et Dara s’aiment par messages codés inscrits dans des livres empruntés à la bibliothèque, par téléphone ou par ordinateur interposé et au cours de promenades dans les rues en jouant à cache-cache avec les oppresseurs.
Avec un humour irrésistible, seule arme efficace face à la censure, et un recours immodéré à l’autodérision, Shahriar Mandanipour rédige sous nos yeux un poignant roman d’amour à la fois réaliste et fantastique, placé sous l’égide des grands poètes persans, des écrivains et des cinéastes occidentaux.
Loufoque et bouleversant, jubilatoire et tragique, En censurant un roman d’amour iranien réconcilie de façon magistrale Le Procès de Kafka, La Ferme des animaux d’Orwell, et les contes des Mille et Une Nuits.
L’œuvre de Shahriar Mandanipour a été récompensée en Iran bien que la censure ait interdit la publication de ses romans entre 1992 et 1997. Depuis 2006, il vit aux États-Unis où il enseigne à Harvard.
Jeudi 27 Avril 2023 – 17h00 →18h30 :
Réunion de sélection du programme de lecture 2023 – 2024
Jeudi 4 mai 2023 – 17h00 →18h30 :
La porte des larmes – Abraham Verghese (Ioulia) 764p
Nés de l’union secrète d’une ravissante religieuse indienne et d’un chirurgien britannique en poste à Addis-Abeba, les jumeaux Marion et Shiva sont livrés à eux-mêmes après la mort en couches de leur mère et la disparition de leur père. Adoptés par un couple de médecins, ils passent une enfance heureuse, unis comme les doigts de la main. Les deux frères atteignent l’âge adulte alors que la révolution couve en Ethiopie. C’est cependant l’amour – leur amour pour une même femme – et non la politique qui va les déchirer, forçant Marion, fraîchement diplômé de médecine, à fuir sa patrie pour l’Amérique. Mais, rattrapé par le passé qui menace de le détruire, le jeune homme doit remettre sa vie entre les mains des deux hommes en qui il pensait avoir le moins confiance : le père qui l’a abandonné, et le frère qui l’a trahi. Roman épique traversant continents et générations, La Porte des larmes est une inoubliable histoire d’amour et de trahison, de compassion et de rédemption, d’exil et d’appartenance, qui se déploie sur cinq décennies et fait halte en Inde, en Ethiopie et aux Etats-Unis.
Excellent ! Que de bons moments en perspective. J’ai relevé avec plaisir que nous n’avons finalement pas renoncé aux romans- « fleuves »: merci Daniel et Ioulia.
Bonjour à toute et à tous,
En théorie, vous « devez » participer à l’Atelier Lecture où l’on parle du livre que vous avez proposé afin d’expliquer et éventuellement défendre votre choix puis échanger avec les autres ………donc regardez bien les dates, si « votre date » ne vous convient pas dites-le dès que possible !
Bonjour,
une petite correction :
> 27.04.22 : Choix des livres de la saison 2023-2024
> 05.05.22 : La porte des larmes – Abraham Verghese
27.04.23 : Choix des livres de la saison 2023-2024
04.05.23: La porte des larmes – Abraham Verghese
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@Daniel
Merci pour la relecture.
Corrections effectuées 😉
Bonjour à chacune et chacun,
Merci et bravo pour cette liste pleine de belles perspectives et votre dynamisme que je suis toujours avec beaucoup d’intérêt malgré mon manque d’assiduité et mon silence.
Peut-être reviendrai-je vers vous et votre groupe lorsque j’aurai assimilé qu’une deuxième vie moins remplie n’existe pas et que seule l’actuelle est réelle…Est-ce un manque de conscience de l’âge ou une attente de ma prochaine décennie??? Peruskysymys…. ou pas…
J’embrasse affectueusement celles ou ceux que je connais…
Bon été !